• <script type="text/javascript">// <![CDATA[ google_ad_client = "pub-3326457785434256"; /* 468x15, game street */ google_ad_slot = "6034094331"; google_ad_width = 468; google_ad_height = 15; // ]]></script> <script type="text/javascript" src="http://pagead2.googlesyndication.com/pagead/show_ads.js"> </script>

     Tous les personnages sont present

    Street Fighter 4 reprend en grande partie le gameplay ainsi que l’ensemble des personnages de Street Fighter 2, seuls manquent à l’appel T. Hawk (le Village People) ainsi que Deejay (le rasta kickboxer).

    Concernant les nouveaux persos, on y trouve Abel le frenchy adepte du Jujitsu et du Sambo, C.Viper l’assasin caricature de la working girl avec un style de combat très largement inspiré par King of Fighters, Rufus le motard obèse très agile et pour finir El Fuerte le catcheur mexicain.

    Comme dans tout bon jeu de baston qui se respecte, on y trouve des persos déblocables : Akuma, Cammy et Fei long (Super Street Fighter 2), Sakura, Dan, Gen et Rose (Street Fighter Alpha), Gouken (le maitre de Ryu et Ken) et Seth (le dernier boss). Pour ces 2 derniers, j’aurais aimé que Gouken dispose d’un Shoryuken et que le dernier boss soit plus charismatique.

     

     Une superbe réalisation

    Voilà pour les persos. Maintenant, attaquons-nous à la partie technique du jeu. Graphiquement, le jeu tient ses promesses : les persos sont magnifiquements modelisés, les effets de lumière et l’expression faciale lors des impacts sont un régal mais le hic provient de certains décors qui paressent trop fades avec des tons de couleurs discutables.

     

    Bande annonce


    Street Fighter 4 est sorti sur PS et Xbox 360 le 20 février et s’avère être un jeu de combat exceptionnel


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